Une majorité nationaliste et un Président « disruptif » auraient pu changer la donne. Las ! il n’y eut ni détente, ni coopération franche. La faute à qui ? Peu importe. Pour les deux exécutifs en place pour au moins cinq ans, il s’agira de se parler, de s’entendre, et d’agir ensemble. Par-delà les sous-entendus, les postures, et les divergences idéologiques.
Par Laurent Dominati –Photos Rita Scaglia et D.R.
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