Le mépris du Président russe pour l’Occident, joint à celui des islamistes et à un moindre degré des Chinois, devrait réactiver la vieille question qui hante périodiquement les esprits depuis la parution en 1918 du Déclin de l’Occident d’Oswald Spengler : à supposer que l’Occident perde en effet de son influence sur la scène internationale, sommes-nous pour autant des « décadents » ?
Par Françoise Bonardel
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