ANNA VIVANTE, ROME, OMBRES ET DRAPÉS AU XVIIIe SIECLE
Comme une immersion dans cette Rome qui n’est plus tout à fait baroque, pas encore néoclassique et n’a jamais vraiment été rococo. Le conservateur Philippe Costamagna a réuni environ 160 pièces en provenance d’institutions comme l’Accademia di San Luca, le Palazzo Barberini ou le Louvre qui témoigne de ce « vaste bordel esthétique » que fut l’art à Rome entre 1700 et 1758. PALAIS FESCH AJACCIO Jusqu’au 3 OCTOBRE.
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