Chère Françoise.
Serait-ce un signe ? L’Obs nous rapporte cette confidence de Françoise Sagan publiée par l’hebdomadaire en 1965 : « J’aime bien les gens égarés, ceux qui ne comprennent pas où ils en sont ». Chère Françoise, que n’êtes-vous parmi nous aujourd’hui ! vous eussiez gagné la plénitude et peutêtre renoncé à la vitesse, au jeu, au whisky, à tous les paradis artificiels qui vous permirent de défier l’ordinaire à défaut d’y échapper.
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