Quel titre ! Ça sonne comme le Caroline chérie de Cécil SaintLaurent. Mais le roman de Sandrine Lucchini est d’une autre facture, investit le champ criminel, libère des sonorités aux accents dostoïevskiens (peinture de la société, exploration psychologique et quête spirituelle). Le tout écrit à l’encre noire. C’est un polar.