Ajaccien passé par l’École des Beaux-Arts de Paris, Mathieu Santori Lamberti évoque ici les ressorts intimes et symboliques de sa pratique du dessin. Entre figures enfantines, papier peint et érotisme trouble, son univers mêle précision technique et intensité émotionnelle. Une cartographie du désir nourrie par la mémoire.
Par Fabien Danesi, directeur du Frac Corsica